Le candidat est-il à l’heure aux rendez-vous ? Vous parait-il correct et bien élevé ? Avez-vous spontanément confiance en lui ? Si vous répondez non à l’une de ces question, méfiance…
En décidant de louer à un candidat qui dispose de revenus au moins égaux à 3 fois le montant du loyer, vous risquez de vous priver de candidats aux revenus un peu moins élevés comme les fonctionnaires ou les employés des grandes entreprises… En outre, il vaut mieux un locataire plus modeste qu’un locataire aux revenus certes élevés mais par ailleurs engagés dans des crédits lourds à rembourser.
La loi Alur vous autorise à demander au candidat un certain nombre de justificatifs. Ne vous en privez pas. Soyez vigilant : les documents vous semblent-ils authentiques ? Au moindre doute, exigez les originaux.
Il s’agit souvent de quelqu’un de l’entourage proche qui s’engage à payer le loyer en cas de défaillance du locataire. Nous vous conseillons de ne pas accepter un simple ami… préférez un parent qui ne se désengagera pas facilement.
Vous ne pourrez pas donner congé à un locataire de + de 65 ans dont les revenus sont inférieurs à un certain plafond.
Si vous manquez de temps ou que vous n’avez pas envie de gérer le départ des locataires et le recrutement des nouveaux … déléguez votre gestion locative.
Tout d’abord, vérifiez la carte professionnelle, les assurances et les garanties du gestionnaire. Faites-vous préciser ce qui est inclus dans le tarif et ce qui vient en supplément.
Lorsque le loyer est libre, déterminez-le en fonction du marché. Ne soyez pas trop gourmand… un loyer surestimé peut entrainer des impayés, un turn over et parfois une vacance de la location.
Pour les loyers qui ne sont pas libres, vous devez tenir compte de la loi pour les fixer.
Les tours et détours d’une location réussie n’ont plus de secret pour vous … Nos conseillers immobiliers vous reçoivent et vous renseignent gratuitement. Ils peuvent étudier votre cas particulier et vous faire des propositions personnalisées. N’hésitez pas à les contacter !